Dédales...
Journée calme... lever bien après-midi, mon homme avait besoin de dormir ;o) Lui parti, j'ai fait couler un bain aux huiles essentielles relaxantes (Lavandin, Verveine, Marjolaine...), allumé les bougies, l'encens, ouvert la porte pour laisser entrer le soleil et Rachelle Ferrell... très soft, très sweet, très love. Malheureusement, le bain fut écourté, et par la douleur, et par l'homme revenu mettant la télévision :o( Bref, un peu énervée... je me suis habillée "transparent" pour aller au ciné. Monsieur ne fait pas d'effort, moi, si. "-C'est transparent, non? Ah mais si, ta chemise est trop transparente, on voit tout à travers!!! -Je sais! -Et tu sors comme ça? -Et toi, tu sors comme ça (sous-entendu: pas rasé, pas coiffé, "mal" habillé, très roots!!!)? -Euh, ben oui... -Alors moi aussi, voilà." Non mais alors! En plus, je l'ai traîné voir un film qu'il fallait ab-so-lu-ment que je visionne... argh, qu'est-ce que je n'ai pas entendu suite aux cinq dernières minutes de "Dédales"... Que ceux qui veulent voir le film arrêtent là de lire... Bref... et moi dans la voiture "-ah mais oui, c'est normal qu'il ne voyait jamais Claude, tu sais <> et puis comme c'était lui, Claude, il ne pouvait pas la voir... moi au début j'ai cru que c'était lui, Dédale, et puis quand il a commencé à pleurer en parlant (allongé sur le fauteuil au départ) du calvaire vécu par l'enfant alors que Minotaure n'avait pas donné de réels détails... et puis oui, évidemment, lorsqu'il s'est soit-disant endormi sur le sofa du psy... elle, elle parle, mais pas lui et c'est le psy qui mène la danse, et puis les liens, sur le lit... et son retour à la clinique après l'évasion... rhâlàlàlà, bon, comme FightClub, ou le 6ème sens, faut le revoir "en sachant", mais bon, c'est amené bien bien rudement... surtout au niveau du flic, c'est dommage, l'intrigue, facile au départ était intéressante par la suite... et puis les acteurs sont super bons, cette Testud... hein? Qu'en penses-tu? -J'ai décroché." Voilà, lui il décroche, et moi je m'auto-anesthésie pour oublier ma douleur, je me fige, je me "rétracte", je me replie... et ainsi va l/ma vie... (Moralité/conclusion de l'histoire: lui, il ronfle et moi, je suis là, à terminer cette phrase.)
Ecrit par Margotte, le Lundi 22 Septembre 2003, 02:38 dans la rubrique "Down...".
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