En effet, je ne me suis jamais sentie aussi bien au Taï-chi que ce soir... Tous m'ont trouvée "mieux", "plus en forme", malgré le petit vertige vers la fin (trop d'oxygène pour mon petit cerveau "endommagé" héhé). J'étais légère, en phase... Pourtant, plus tard, un petit coup de blues vint abîmer ça... encore ce goût du passé qui coule lentement de ma gorge à mes entrailles et qui pollue tout doucement les petites cellules apaisées... Peut-être à cause de la neige de 1998 sur Paris (!!!), peut-être à cause de Ce plaisir qui se rapproche tant de l'artmartial du passé, peut-être parce que je vivrai(s) ça jusqu'à mon dernier râle (n'est-il pas, Joga?). Se ressaisir, regagner son côté clair, la face blanc cassé de la Margotte, celle où elle n'est plus allée depuis sept mois. Dévoiler le plus doux de soi, le plus suave, le plus élégant. Redevenir fille, redevenir femme, amante, câline et parfois docile... Redevenir F.