...leur dire qu'on les aime avant qu'ils ne disparaissent.
Ecrit par Margotte, le Mardi 8 Juin 2004, 03:22 dans la rubrique "C'est la fin...". Repondre a cet article
Re: Re: Re:
Ecrit par Margotte le Vendredi 11 Juin 2004, 19:38
Oui... surtout lorsqu'il m'a répondu "Je sais.", là je me suis sentie moins inutile, enfin non, j'ai surtout pensé que sans le dire, toutes ces années passées à l'aimer... sans les mots, gestes et regards avaient suffit, je suis heureuse pour ça, pour quand il partira et pas moi...
Alors disons le
Ecrit par pascal le Mercredi 9 Juin 2004, 11:59
Une découverte récente pour moi ces journaux webiques et bloguiens... Une pléiade de personnes sensibles, douées pour écrire souvent, ayant toutes cette petite fêlure qui rend les gens intéressants... Beaucoup de jeunes femmes comme si les hommes étaient plus introvertis...
Alors je profite du titre de ton article pour vous dire que je t'aime bien, que je vous aime bien sinon toutes du moins beaucoup... Vous dévoilez votre âme avec un mélange de réserve et d'impudeur qui me touche .
Et un petit bravo aussi pour ton site qui est certainement le plus somptueusement paré de toute la série...
Je vais peut être me laisser tenter et mettre un journal en ligne aussi. Il sera probablement plus imaginaire que réaliste mais ce que l'on cache vous révèle autant que ce que l'on montre.
Bises
Re: Alors disons le
Ecrit par Sans Nom le Jeudi 10 Juin 2004, 04:17
et pendant qu'on les aime, c'est possible docteur ou comme les autres il faut attendre le danger pour s'aimer soi meme suffisemment pour oser dire qu'on existe à qqun qui est la preuve de cette existence...en bref,
rien ne vaut la mort des autres pour se prouver la betise de ce que l'on croyait leur avoir dit.
Re: Re: Alors disons le
Ecrit par Margotte le Vendredi 11 Juin 2004, 19:45
Comme je l'ai dit plus haut à Vendredi, quel bonheur de se rendre compte que même sans l'avoir dit, parfois le(s) sentiment(s) passe(nt) quand même. Je suis la "digne" descendante d'une lignée de grands silencieux, la valeur du silence est équivalente chez nous à celle du son/bruit/parole...... après, sorti de ce contexte et de ces personnes, je suis moins comprise, alors on se force à en faire trois tonnes, c'est souvent une erreur, mais bon...