... pour cette nuit: me coucher avant l'aube... Cf le post précédent.
La bouche pleine de mots qui ne sortiront encore pas ce soir. (Heureusement, Digitali absente, je vais profiter de la brèche ouverte vers le sommeil...)
Mais cet aprem, 2 heures passées au téléphone avec ma mère et... ce fut presque (enfin) un dialogue..... j'ai avoué des fissures, j'ai avoué des faiblesses puis j'ai affirmé un ou deux trucs positifs sur moi-même (euh non, un seul en fait).
Le plus dur, c'est justement d'avouer à nos proches ce qui ne va pas... On aimerait tellement leur dire que "tout va bien" constamment, mais c'est pas possible, il faut parfois savoir/oser dire que ça ne va pas si bien que ça, finalement.
Et ce que l'on redoute certainement le plus, ce n'est pas le fait de dire que ça va mal, c'est la réaction qu'ils peuvent avoir qui nous fait peur, et c'est pourquoi, le plus souvent, nous ne disons rien...
Tu as fait un pas en avant, Margotte, je pense qu'il y en aura certainement d'autres, donc, comme tu le dis, tout n'est pas si sombre...
Je te souhaite de tout coeur que ça s'arrange entre ta maman et toi, et que vous arriverez à renouer avec le dialogue... et je te souhaite aussi une bonne nuit (c'est un euphémisme, puisqu'il est déjà 5h12 du matin)...